médicament dont l’action s’oppose à celle du neuromédiateur - et du ou des agonistes correspondants - au niveau de son site récepteur. un antagoniste peut éventuellement avoir une structure chimique proche de celle de l’agoniste, mais il n’induit pas pour autant les mêmes effets physiologiques; il bloque, au contraire, de manière plus ou moins sélective et plus ou moins durable toute action ultérieure de l’agoniste.
il faut développer, en particulier chez les détenus, des formes d’atténuation des risques, en utilisant des médicaments substitutifs ou antagonistes lorsque la mise en liberté est proche et que les détenus déclarent de vouloir continuer à recourir aux drogues à la sortie de prison.