Contexte |
si légalement, et dans les esprits d’un certain nombre d’acteurs locaux, il n’existe pas réellement de différences entre une toxicomanie dite de “drogues dures” (héroïne, cocaïne, et éventuellement un abus de médicaments psychotropes associés à l’alcool) et une consommation régulière de “drogues douces” (haschisch, marijuana essentiellement), cette dichotomie sur le terrain du soin est bien réelle.
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