prévention visant à intervenir à un stade où l’individu n’est pas encore entré en contact avec la drogue ou n’a pas développé une série d’attitudes risquant de l’y conduire. ce stade prend en compte deux champs d’intervention: l’information et l’éducation.
loonis en déduit que la souffrance psychique sous-jacente à la conduite additive devrait être l’objet prioritaire de la prévention:la véritable prévention primaire est celle de cette souffrance, en particulier -mais pas exclusivement- chez l’enfant et l’adolescent.